Messages : 159 Formules magiques : 143 Âge : 29 ans. Occupation : Détective privé. Statut civil : Célibatairement bisexuel. Camp : Neutre, trop égoïste pour œuvrer pour un autre camp que le sien. Race : Mi être de lumière, mi phénix. Pouvoirs : Pouvoirs des phénix :
nv.1 résurrection
nv.2 boule d'énergie
nv.3 matérialisation d'armes
Pouvoirs des êtres de lumière :
nv.1 éclipse
Manipulation des pouvoirs
nv.1 : Zone d'annulation globale des pouvoirs
nv.2 : Toile d'annulation dirigée des pouvoirs
Spoiler:
Manipulation des pouvoirs (nv.1 : Zone d'annulation globale des pouvoirs)
Lorsqu'il est déclenché, ce pouvoir annule tous les pouvoirs et sorts des êtres qui se trouvent autour d'Erebe, sans aucune distinction, et il ne peut en faire aucune, lui y compris (zone de la taille d'une pièce de 20m²). Pouvoir qui va se déclencher pour la première fois juste parce qu'il voudra empêcher une attaque. Entremêlé à ses autres natures, au déclenchement de la zone, les pouvoirs tentant malgré tout de se manifester semblent s'éclipser, puis il ne se passe plus rien. La zone devient stérile, vide de toute magie possible, et il ressent la nature de chaque pouvoir que l'on tente d'y faire s'y déployer. Une fois le pouvoir "éteint", tout redevient normal. Bien évidemment, ce don reste énergivore dans son utilisation, et Erebe se fatigue en l'utilisant. (nv.2 : Toile d'annulation dirigée des pouvoirs)
Un peu comme la toile du plumage du phénix (toile de la taille d'une pièce de 20m²), la manipulation de son talent s'affine, et il peut à présent choisir qui ne sera plus en capacité d'user de son/ses pouvoirs, tout en en épargnant d'autres. Les effets de son pouvoir se limitent toujours à la zone qui l'entoure, mais à présent, il ressent les pouvoirs en cours d'utilisation, et peut dès lors diriger son pouvoir d'annulation, même sur des personnes qu'il ne perçoit pas avec ses sens, et ce de manière volontaire. Une fois le pouvoir "éteint", tout redevient normal. Bien évidemment, ce don reste énergivore dans son utilisation, et Erebe se fatigue en l'utilisant. (nv.3 : Retirer les pouvoirs d'un être)
La capacité à retirer les pouvoirs magiques d'une autre personne permet à l'utilisateur de dépouiller n'importe quel être magique de ses pouvoirs sans les recevoir. La main traverse magiquement la cage thoracique de la personne visée le temps de toucher les terminaisons magiques. Disons que le processus agit comme si les pouvoirs de l'être étaient bridés par une magie inhibitrice qui vient couper ou obstruer les terminaisons magiques. Le processus doit être refait de manière inversée, ou de l'Ichor ingéré, pour redonner ses pouvoirs à quelqu'un et annuler les effets. La privation de pouvoir reste bien sûr temporaire, et dure 24h. (nv.4 : L'Ichor miroitant, ou quand l'effet s'inverse)
Son sang, car l'Ichor n'est rien d'autre dans la mythologie que le sang des dieux, prend étrangement une teinte dorée lorsque cette dernière faculté s'active. Consommé, ce dernier prend la saveur de la boisson préférée de celui qui l'ingère, en meilleure encore, l'être n'ayant jamais rien bu d'aussi bon. Tout simplement parce qu'au lieu d'annuler les pouvoirs, l'ingestion du sang d'Erebe volontairement devenu d'or par son détenteur, va exacerber les pouvoirs, et ainsi donner plus de puissance à l'être qui l'a bu, pour un temps imprécis (les effets se dissipent dès que l'organisme le synthétise ou l'élimine, l'Ichor redevenant alors du sang). Et l'ironie du sort veut que si Erebe l'ingère, il ne se passe rien.
Relations : Monday Grimshaw - Demi-frère aîné de sang méconnu. Isis Mikkelsen - Humaine dont il a sauvé les fesses d'une agression et qui l'a récompensé d'une manière agréable. Katlyn Mitchell - Jolie flic dont il est l'indic, et qu'il cherche à charmer à chacune de leurs rencontres pour obtenir des services. Achil Danaé - L'amant d'une nuit qui se répète. Peyton Halliwell - La méfiante compétitrice avec laquelle il s'entraîne. Lux Ambrose - Premier amour qui s'est fini sous la jalousie toxique du cupidon. Premier amour qu'il pensait mort, étouffé sous un mur épais et solide qui entoure son coeur depuis des années. Il y a cru, jusqu'à le revoir, jusqu'à ses lèvres. Mais rien n'est mort. Rien n'agonise. Et pourtant, Erebe ne veut rien, douleur béante d'un inconstant qui refuse ce qu'il pourrait avoir. Raven Montgomery - L'hybride qui s'est pris pour une exception. Sawyer Dawson - La détestée. L'amie d'enfance qui s'est détournée sous les mots gravées par sa tête au sujet des hybrides, de cette neutralité à laquelle Erebe s'accroche. Ils s'insupportent, ne peuvent pas se voir, et pourtant leurs mères ont nourri le projet de les unir pour pondre une descendance. S'il a refusé, elle, a tenté sans y parvenir, préférant essayer de le faire chuter à contre-cœur. Et qui sait si le destin n'y parviendra pas, à l'attirer dans les profondeurs des ténèbres à ses côtés. Wyatt M. Halliwell - Le rival qu'il ignore. (u.c) Faceclaim : Dominic Sherwood (c) Zuz' (c) lilie
(#) Sujet: On the edge of everything we know (ft. Monday) Mer 12 Aoû - 22:57
Une cigarette au creux de mes lèvres lorsque je sors du restaurant sans une œillade pour celui que j'ai pourtant bel et bien remarqué. Je sens son regard appuyé sur ma nuque... j'en frissonnerais presque de cette désagréable sensation, mais surtout d'ignorer ce qu'il me veut. Et puis c'est idiot de vouloir filer un privé. Ce n'est pas comme si ce n'était pas mon job de suivre les gens et de découvrir leurs vilains petits secrets. Du moins quand c'est ce que l'on me demande. Je n'ai pas les mains aussi blanches que mon activité du jour pourrait le prétendre, que ma semi-nature angélique pourrait le souffler. J'ai déjà donné la mort, et fut un temps où j'en aurais fait mon avenir si les Phénix m'avaient accordé un peu plus d'importance. Tant pis pour elles devrais-je dire à présent. A la place, j'ai trouvé un autre mode de vie. Une autre façon d'exister et de me faire de l'argent.
J'allume la chibiche coincée à mes lèvres, en tire une latte comme si j'attendais justement quelqu'un. En vérité, je patiente juste jusqu'à ce que le bus qui se trouve un peu plus haut dans la rue m'offre l'opportunité de disparaître dans un recoin pour m'éclipser. Faculté tellement angélique... héritage de ce paternel que je n'ai jamais connu, que ma mère a tant regretté, tant détesté... et si je le sais avec tant de certitudes, c'est parce qu'elle m'a voué ce mépris qu'elle aurait voulu lui destiner. Pas assez "femme" à ses yeux, mes efforts, ma force et ma détermination n'ont jamais eu raison d'une possible fierté qui est morte dans l’œuf avant même d'exister. Et aujourd'hui, elle souhaiterait que je mette à profits mes gênes pour la race. Une ombre sarcastique vient orner mes lèvres d'un sourire, tandis que mon smartphone se met à vibrer dans ma poche. Une fois. Puis une deuxième. Et il s'immobilise. Un message dont je prendrai connaissance plus tard.
Pour l'instant, tout ce qui me préoccupe, c'est ce type de l'autre côté de la rue. Peut-être que je me trompe, qu'il n'est pas là pour moi. Mais j'ai plutôt un bon instinct, et cela me paraîtrait presque trop gros qu'il soit là pour une autre raison. La personne avec qui je venais de déjeuner sortit du restaurant, m'accordant un sourire presque timide alors que j'avais pris le repas à mes frais. J'ai l'air sociable, je sais me fondre dans cet univers comme s'il n'en existait pas un autre plus sombre, composé d'affrontements et de deux camps adverses face auxquels mes lèvres se pincent, mais qui égoïstement m'indiffèrent. J'extirpe une nouvelle bouffée à la cigarette que je laisse tomber au sol, l'écrasant de la pointe de ma chaussure, avant de pivoter au passage du bus, profitant de sa longueur pour me faufiler dans un recoin et m'éclipser un peu plus loin, de sorte à pouvoir observer, sans être vu, mon suiveur.
Certitude qui se confirme lorsque je le vois se redresser après le passage du bus, cherchant visiblement le disparu qui n'est autre que moi. J'ai le nez pour ce genre de choses, et lorsqu'il passe non loin de moi, sans que cela puisse paraître étrange ou improbable... Après tout, je ne sais pas à qui j'ai affaire. Humain ? Ou être qui ne l'est pas tant que ça ? Je l'ignore. Il n'est qu'un inconnu au visage qui me parle sans pour autant que je puisse remettre cette rencontre qui n'en était pas vraiment une. Ainsi, quand il passe près de moi, je sors de mon recoin et me mets à mon tour à lui emboîter le pas jusqu'à me tenir à l’extrémité de la ruelle dans laquelle il imaginait sans doute que je m'étais faufilée.
« Tu me cherches, Trésor ? » que je souffle dans son dos, un petit sourire sarcastique au coin des lèvres. « On ne t'a jamais dit que filer un privé n'était pas une bonne idée ? » Précision inutile à vrai dire, il s'est fait prendre la main dans le sac, sauf que j'ignore ce qu'il me veut, et ce qu'il est. « Je peux savoir ce que tu me veux ? » Et je suis bien loin d'imaginer la vérité à cette seconde.
(c) AMIANTE
Monday Grimshawhear now the words of the witches
Messages : 40 Formules magiques : 125 Âge : 31 ANS, une trentaine tout juste entamée traçant le contour de ce joli minois ténébreux aux doigts déjà bien entachés par le vermeil sanguinolent Occupation : PROCUREUR connu pour sa férocité, jouant avec talent avec le droit qu'il a appris à connaitre sur le bout des doigts. Statut civil : CELIBATAIRE les corps se succèdent, le myocarde lui reste insaisissable Camp : Mal, les Grimshaw Race : Hybride Phénix / Démon Pouvoirs : Phénix.(niveau 2) Résurrection de ses propres cendres & boule d'énergie Télékinésie.(niveau 1) Déplacement des corps et des objets par la pensée Umbrakinésie.(niveau 1) Brouillard d'ombres. Capacité de libérer des ombres semblables à un brouillard opaque, où l'adversaire ne peut y voir au travers et se retrouve à agir à l'aveuglette, désorienté. A l'inverse lui peut s'y déplacer sans soucis et s'y dissimuler Faceclaim : Daniel Sharman (forevertry)
(#) Sujet: Re: On the edge of everything we know (ft. Monday) Jeu 13 Aoû - 15:37
Valdios. Interpellation banale qui claironna à ses tympans, attirant son attention comme celle de l’intéressé, un blondinet au faciès étonnamment non étranger. Regard intrigué scrutant la silhouette de l’être sans réellement en connaitre la raison. Pourtant l’écho de ce nom résonna encore et encore, cacophonie pressante qui exigeait réponse. Valdios. Valdios. L’esprit, joueur et mystérieux, semblait vouloir le lui imposer, ancrage ressassé inlassablement d’un patronyme … non d’un matronyme. La frustration dégueulait de ses entrailles, ironie cruelle pour lui qui pouvait se montrer si impassible. La sensation de familiarité était là, à le narguer, à se faufiler sans qu’il puisse clairement y mettre la main dessus. Mystère que les recherches terrassèrent. Les entrailles se tordirent en réponse à la criante réalité, emprise se resserrant sur la photo d’une femme. Les souvenirs étaient bien lointains, brumes épaisses de l’image du garçonnet qu’il fut jadis… L’esprit avait été filou, autoprotection, reflexe de survie que celui d’enfouir profondément le dérangeant du passé qui tel un boomerang lui revenait en pleine figure. Valdios. Elle semblait l’observer… pourtant ce n’était qu’un vulgaire morceau de papier glacé. Cette génitrice aux prunelles luisantes si semblables aux siennes, venue remuer la merde de l’ancien pour s’imposer à lui.
Des jours durant, le labyrinthe des songes le ramena perpétuellement à elle mais surtout au blondinet. Le lien de parenté les unissant avait été établi rapidement au fil des recherches sur les siens. Elle avait eu l’audace de recommencer à procréer, elle… Curiosité piquée à vif qui un soir l’entraina à venir épier ce frère dont il ne connaissait rien. Que cherchait-il au juste ? Il n’en savait trop rien. C’était déraisonnable, impulsif… pas lui. Et pourtant il était assis là, au bar de ce restaurant, liquide ambré dansant dans un verre où il posait tout juste les lèvres. Les mirettes avaient trouvé refuge en leur seul véritable centre d’attention : lui. Il l’observait, scrutait chaque trait de son poupon de visage, en balayait chaque courbe, corps et esprit en proie à un flux incessant de pensées. Jamais il n’avait été aussi vulnérable, le père se serait bien chargé de le lui rappeler et de corriger ce « défaut » s’il avait été présent. Mais il n’avait pipé mot de cette histoire à personne, peinant encore à croire à cette cuisante certitude. Ils ne pouvaient être liés…
La cible échappée du champ de vision, l’hybride se redressa. Merde, en plus il devenait distrait… Quelques dollars déposés sur le comptoir, il rejoignit quelques minutes plus tard la sortie, ajustant d’une main le col d’une chemise parfaitement immaculée. Les inquisitrices déjà retrouvèrent le bonhomme, brève apparition qu’un bus fit disparaitre. Un soupire fut brièvement échappé d’entre les lèvres. Les réflexions internes se faisaient moqueuses, conscience se demandant à quoi rimait tout ce bordel et quelles étaient ses intentions. Il n’allait pas le traquer indéfiniment. C’était insensé, ridicule… à moins de mener un objectif plus funeste. La frustration s’apaiserait sûrement avec l’hémoglobine. Détruire la chair de sa chair, celle de leur mère… « Tu me cherches, Trésor ? » Il avait continué à marcher, l’esprit à la déroute jusqu’à cet éclat de voix, la sienne, murmurée à ses tympans. Trésor vraiment… Il ne rétorqua rien, longues secondes passées tête légèrement penchée sur le côté à le détailler de plus près. « Je peux savoir ce que tu me veux ? » Le regard vint à nouveau se loger au creux du sien. A présent il savait. « Voir ce que tu as dans les entrailles… » D’un mouvement la main fut saisie, prise sûre et efficace qui l’entraina sur le bitume. Le pied, lui, rejoint la trachée, s'écrasant dessus sans ménagement. Il ne faisait pas dans l'indulgence ou la facilité. Jamais.
(c) AMIANTE
Erebe Valdiosi call upon the ancient power
Messages : 159 Formules magiques : 143 Âge : 29 ans. Occupation : Détective privé. Statut civil : Célibatairement bisexuel. Camp : Neutre, trop égoïste pour œuvrer pour un autre camp que le sien. Race : Mi être de lumière, mi phénix. Pouvoirs : Pouvoirs des phénix :
nv.1 résurrection
nv.2 boule d'énergie
nv.3 matérialisation d'armes
Pouvoirs des êtres de lumière :
nv.1 éclipse
Manipulation des pouvoirs
nv.1 : Zone d'annulation globale des pouvoirs
nv.2 : Toile d'annulation dirigée des pouvoirs
Spoiler:
Manipulation des pouvoirs (nv.1 : Zone d'annulation globale des pouvoirs)
Lorsqu'il est déclenché, ce pouvoir annule tous les pouvoirs et sorts des êtres qui se trouvent autour d'Erebe, sans aucune distinction, et il ne peut en faire aucune, lui y compris (zone de la taille d'une pièce de 20m²). Pouvoir qui va se déclencher pour la première fois juste parce qu'il voudra empêcher une attaque. Entremêlé à ses autres natures, au déclenchement de la zone, les pouvoirs tentant malgré tout de se manifester semblent s'éclipser, puis il ne se passe plus rien. La zone devient stérile, vide de toute magie possible, et il ressent la nature de chaque pouvoir que l'on tente d'y faire s'y déployer. Une fois le pouvoir "éteint", tout redevient normal. Bien évidemment, ce don reste énergivore dans son utilisation, et Erebe se fatigue en l'utilisant. (nv.2 : Toile d'annulation dirigée des pouvoirs)
Un peu comme la toile du plumage du phénix (toile de la taille d'une pièce de 20m²), la manipulation de son talent s'affine, et il peut à présent choisir qui ne sera plus en capacité d'user de son/ses pouvoirs, tout en en épargnant d'autres. Les effets de son pouvoir se limitent toujours à la zone qui l'entoure, mais à présent, il ressent les pouvoirs en cours d'utilisation, et peut dès lors diriger son pouvoir d'annulation, même sur des personnes qu'il ne perçoit pas avec ses sens, et ce de manière volontaire. Une fois le pouvoir "éteint", tout redevient normal. Bien évidemment, ce don reste énergivore dans son utilisation, et Erebe se fatigue en l'utilisant. (nv.3 : Retirer les pouvoirs d'un être)
La capacité à retirer les pouvoirs magiques d'une autre personne permet à l'utilisateur de dépouiller n'importe quel être magique de ses pouvoirs sans les recevoir. La main traverse magiquement la cage thoracique de la personne visée le temps de toucher les terminaisons magiques. Disons que le processus agit comme si les pouvoirs de l'être étaient bridés par une magie inhibitrice qui vient couper ou obstruer les terminaisons magiques. Le processus doit être refait de manière inversée, ou de l'Ichor ingéré, pour redonner ses pouvoirs à quelqu'un et annuler les effets. La privation de pouvoir reste bien sûr temporaire, et dure 24h. (nv.4 : L'Ichor miroitant, ou quand l'effet s'inverse)
Son sang, car l'Ichor n'est rien d'autre dans la mythologie que le sang des dieux, prend étrangement une teinte dorée lorsque cette dernière faculté s'active. Consommé, ce dernier prend la saveur de la boisson préférée de celui qui l'ingère, en meilleure encore, l'être n'ayant jamais rien bu d'aussi bon. Tout simplement parce qu'au lieu d'annuler les pouvoirs, l'ingestion du sang d'Erebe volontairement devenu d'or par son détenteur, va exacerber les pouvoirs, et ainsi donner plus de puissance à l'être qui l'a bu, pour un temps imprécis (les effets se dissipent dès que l'organisme le synthétise ou l'élimine, l'Ichor redevenant alors du sang). Et l'ironie du sort veut que si Erebe l'ingère, il ne se passe rien.
Relations : Monday Grimshaw - Demi-frère aîné de sang méconnu. Isis Mikkelsen - Humaine dont il a sauvé les fesses d'une agression et qui l'a récompensé d'une manière agréable. Katlyn Mitchell - Jolie flic dont il est l'indic, et qu'il cherche à charmer à chacune de leurs rencontres pour obtenir des services. Achil Danaé - L'amant d'une nuit qui se répète. Peyton Halliwell - La méfiante compétitrice avec laquelle il s'entraîne. Lux Ambrose - Premier amour qui s'est fini sous la jalousie toxique du cupidon. Premier amour qu'il pensait mort, étouffé sous un mur épais et solide qui entoure son coeur depuis des années. Il y a cru, jusqu'à le revoir, jusqu'à ses lèvres. Mais rien n'est mort. Rien n'agonise. Et pourtant, Erebe ne veut rien, douleur béante d'un inconstant qui refuse ce qu'il pourrait avoir. Raven Montgomery - L'hybride qui s'est pris pour une exception. Sawyer Dawson - La détestée. L'amie d'enfance qui s'est détournée sous les mots gravées par sa tête au sujet des hybrides, de cette neutralité à laquelle Erebe s'accroche. Ils s'insupportent, ne peuvent pas se voir, et pourtant leurs mères ont nourri le projet de les unir pour pondre une descendance. S'il a refusé, elle, a tenté sans y parvenir, préférant essayer de le faire chuter à contre-cœur. Et qui sait si le destin n'y parviendra pas, à l'attirer dans les profondeurs des ténèbres à ses côtés. Wyatt M. Halliwell - Le rival qu'il ignore. (u.c) Faceclaim : Dominic Sherwood (c) Zuz' (c) lilie
(#) Sujet: Re: On the edge of everything we know (ft. Monday) Jeu 13 Aoû - 16:44
J'ignore qui il est. Ce qu'il est. Ce qu'il me veut. Mais j'ai bien conscience qu'il m'a suivi, son regard se dardant inévitablement et longuement dans ma direction. Et la certitude s'était faite lorsqu'il m'avait suivi à l'extérieur. Sauf que cela ne m'avançait pas à grand chose de m'être rendu compte de ça. L'ignorance est quelque chose que je n'ai jamais aimée. Et pour cause, je préfère savoir, pouvoir juger en ayant autant, si ce n'est plus d'informations que l'autre. Et j'ai l'impression, dans cette situation, que les rôles sont inversés. Ignorer le pourquoi de sa présence, si je peux ou non faire appel à des talents plus surnaturels en sa présence, ou s'il n'est qu'un humain assez idiot de vouloir s'en prendre à un phénix. Ou au moins à un privé qui obtient des résultats et ne craint pas de mettre ses deux pieds dans le plat le cas échéant lorsque cela est nécessaire.
Alors je le prends à revers, sans pour autant l'attaquer, juste pour le jauger quelques instants, laisser mes paroles rouler dans sa direction et recueillir ses réactions. Ce visage incliné qui me regarde, qui me détaille de haut en bas. Oui, si j'avais eu ne serait que l'ombre d'un doute, il est à présent complètement détruit. L'inconnu en a bel et bien après moi, il me suivait pour une raison qui reste mystérieuse. Mais le regard qu'il darde à présent dans ma direction est comme une mise en garde tardive... « Voir ce que tu as dans les entrailles… » Ma main prisonnière de la sienne, une seconde à peine pour me faire rencontrer le bitume. Suivi de son pied qui s'appuie sur ma gorge avec acidité. Je n'ai pas vraiment le temps de réfléchir, de m'interroger sur qui pouvait l'envoyer, ce qui motivait son attaque, si c'était un coup de ma mère, de quelqu'un que j'aurais pu froisser. Peut-être lui directement ?
Sur l'instant, c'est loin d'être ma préoccupation première. Et si mon premier réflexe aurait pu être de m'éclipser, j'ai acquis suffisamment de maîtrise pour éviter de faire des démonstrations devant les humains. Et il n'est toujours qu'une foutue énigme. Technique de combat acquise dès le plus jeune âge, j'use d'un mouvement du bras, du corps, pour fragiliser la jambe de mon adversaire la seconde me permettant de rouler sur le côté. Souplesse et agilité qui me font me redresser l'instant d'après. La magie laissant naître une lame entre mes doigts, que je lance dans sa direction, immédiatement remplacée par une seconde qui se matérialise sous ma volonté, plus longue. « Au sens propre ou au figuré, Trésor ? » que soufflent mes lèvres avec sarcasme, timbre plus rocailleux qu'à l'habitude sous la maltraitance passée de ma gorge. J'incline doucement la tête sur le côté, sans le quitter des yeux, méfiant, sur le qui-vive, prêt à réagir si une attaque vient à survenir. « Qui t'envoie ? Ou j'ai peut-être baisé ta copine ? »
L'idée que je puisse me retrouver face à ce frère disparu n'esquisse même pas mon esprit. Car même si c'était le cas, le fait qu'il revienne pour m'attaquer est inconcevable. Je n'ai pas eu d'enfance choyée, et si j'ai eu notre mère, elle ne fut pas celle qui remporta le prix de l'année, bien au contraire. Alors non, cela ne se glisse pas dans mon esprit. Pas plus que de l'imaginer comme un allier, bien au contraire. Il ne me reste qu'à déterminer la manière de l'affronter pour décider de ma façon de combattre. Car je n'ai jamais hésité à m'éclipser pour prendre à revers un adversaire en cas de nécessité. Mais je sais également me battre simplement, l'entrainement est là, vibrant d'une habitude qui n'a jamais cessé. Je veux juste savoir pourquoi, et c'est précisément ce qui pourrait retenir mon geste. J'attends une attaque ou une réponse, prêt à réceptionner l'une ou l'autre, à combattre, à parer ses attaques, à lui rendre coup pour coup, mais sûrement pas à découvrir la vérité.
(c) AMIANTE
Monday Grimshawhear now the words of the witches
Messages : 40 Formules magiques : 125 Âge : 31 ANS, une trentaine tout juste entamée traçant le contour de ce joli minois ténébreux aux doigts déjà bien entachés par le vermeil sanguinolent Occupation : PROCUREUR connu pour sa férocité, jouant avec talent avec le droit qu'il a appris à connaitre sur le bout des doigts. Statut civil : CELIBATAIRE les corps se succèdent, le myocarde lui reste insaisissable Camp : Mal, les Grimshaw Race : Hybride Phénix / Démon Pouvoirs : Phénix.(niveau 2) Résurrection de ses propres cendres & boule d'énergie Télékinésie.(niveau 1) Déplacement des corps et des objets par la pensée Umbrakinésie.(niveau 1) Brouillard d'ombres. Capacité de libérer des ombres semblables à un brouillard opaque, où l'adversaire ne peut y voir au travers et se retrouve à agir à l'aveuglette, désorienté. A l'inverse lui peut s'y déplacer sans soucis et s'y dissimuler Faceclaim : Daniel Sharman (forevertry)
(#) Sujet: Re: On the edge of everything we know (ft. Monday) Mer 19 Aoû - 21:26
La réponse dans la violence. Typique Monday. Il était fait ainsi, de ses cellules émanait la force de vivre ou plutôt de survivre, vie de combats successifs dont il était toujours sorti vainqueur… non sans en avoir amassé maintes cicatrices. Apparentes ou invisibles, elles étaient indélébiles, brèches de l’être raccommodé tant bien que mal. Du fœtus malmené par une génitrice abjecte au démon avide de pouvoir auquel elle l’avait cédé, le gamin n’avait été modelé que pour être un des meilleurs, un Grimshaw.
Et en cet instant, un inconnu lui faisait face. C’est ce qu’était cet homme avant même d’être un frère. Les retrouvailles n’auraient pas dû en être, jamais il n’avait souhaité le côtoyer de si près, pas même lui adresser un quelconque mot. Le plan… Non il n’y avait même pas eu réellement l’ébauche d’une esquisse tactique. Il avait été guidé par la curiosité, le désir insensé d’entrevoir la vie menée par cet autre… la vie qu’IL aurait pu poursuivre si Barney n’avait pas scellé ce contrat avec la parente…
Jauger son adversaire. Il fallait bien commencer quelque part maintenant que cet homme était là face à lui, lui demandant des comptes. Il y voyait là un premier pas dans tout le merdier qui l’assaillait. En découvrant ses atouts et ses difficultés au combat, il en apprenait un peu plus sur lui… c’était un échange atypique mais un début. Typique Monday. Après tout il n’était ainsi pas le seul à en apprendre sur l’autre.
Voilà comment il s’était retrouvé dans cette situation quelque peu… contrariante. La pression de sa jambe écrasait les cordes vocales sans ménagement, objectif involontaire ou pas de ne pas vouloir l’entendre parler. Ou devoir lui répondre. En revanche, il était clairement dans une autre attente, une plus explicite qu’il ne tarda pas à lui fournir. Patte se pliant sous l’assaut, déséquilibre vite rétabli pour l’hybride. Il allait devoir faire mieux que ça. Beaucoup mieux. Les sourcils se froncèrent à l’apparition de l’arme entre ses doigts, constat d'un des dons qu'il avait en sa possession. Pas le temps d'approfondir la pensée que l’offensif projectile fendait l’air dans sa direction. De ses doigts il le ralentit, télékinésie subtile dont il usa en sa faveur, n'ayant plus qu'à venir saisir la lame.. avant de se mettre sur la défensive dans l’observation du frère. « Au sens propre ou au figuré, Trésor ? » Prunelles qui brièvement se levèrent vers le céleste avant de revenir s’attacher aux siennes « Tu ne la fermes donc jamais ? » Il aurait dû exercer une pression plus forte sur ce larynx… Cette posture qu’il avait pris, cette légère inclinaison, ce faciès… la ressemblance était troublante. « Qui t'envoie ? Ou j'ai peut-être baisé ta copine ? » Une meuf. Sérieux ? Là c’était carrément désespérant. Monday avait vraiment la tronche d’un espèce de chevalier à la con venu défendre l’honneur de sa donzelle ? Rien que l’idée… mieux ne valait pas y songer. « tu jacasses beaucoup trop mais je constate qu’elles t’ont appris 2 ou 3 trucs … » Le regard s’égara sur la marque des phénix logée sans surprise sur le poignet du Valdios. Il en possédait l’image identique, bien que partiellement dissimulée sous sa montre. Cette tâche de naissance, marque au fer rouge d’appartenance à cette élite… ironique lorsqu’on savait qu’il n’avait pas même grandi avec elles. Les secondes s’étirèrent, fruit de nouvelles réflexions pendant lesquelles la lame fut maniée avec précision entre ses doigts, avant qu’il ne se décide à la renvoyer aux pieds de son expéditeur. « à moins que tu ais appris seul ?... » La revoilà…Curiosité quand tu nous tiens…
(c) AMIANTE
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(#) Sujet: Re: On the edge of everything we know (ft. Monday)