you can stop the future if you know the right people. (valentin)

you can stop the future
if you know the right people

Assis derrière le volant de sa BMW, garé et phares éteints dans la nuit, Aspen fixait le coin d’une ruelle sombre avec attention. Il se remémorait les mots de sa mère adoptive en scrutant l’obscurité. La vision de la Prophétesse était formelle : il résidait en Valentin Kennedy une énergie magique dormante tellement puissante que le jeune sorcier était probablement voué à devenir l’un des oracles les plus doués de sa génération. C’était le genre d’individus qu’il valait mieux pouvoir compter comme son allié que comme son ennemi – et si ce genre d’arrangement n’était pas possible, alors Aspen serait contraint de couper la menace à la racine avant que la mauvaise herbe ne puisse se développer.

Cela faisait presque deux semaines qu’il avait commencé à observer Valentin de loin, toujours dissimulé dans l’obscurité ou par divers charmes et enchantements concoctés par sa mère. Traquer ses moindres faits et gestes s’était avéré terriblement ennuyeux : non seulement le sorcier ne participait pas à la chasse aux démons, mais en plus son quotidien était assez morne, au-delà de son colocataire étrangement toujours à moitié nu lorsqu’il les épiait depuis le bâtiment d’en face. De ces différentes observations, Aspen n’avait pas été capable d’en déduire quoique ce soit sur l’avancement actuel des facultés psychiques de sa cible.

Mais ce soir, les choses allaient changer. Sur le siège passager de sa voiture, un démon inférieur dénué d’autre pouvoir que des dents de rat acérées, tremblait comme une feuille de se trouver aussi près de la Source. Il avait l’air confus, ce qui avait le don d’exaspérer Aspen. « Je te réexplique le plan une dernière fois, triple idiot » grogna-t-il. « Dans environ 2 minutes, la Prophétesse a prévu qu’un sorcier passerait le coin de cette rue. Ton boulot, comme te l’ordonne ton roi, c’est d’aller le tuer. Purement et simplement. » Il lui glissa un athamé cérémoniel en main et lui donna une tape sur la joue. « Allez ! Hauts-les-cœurs ! » D’un geste, il l’expulsa hors de la voiture sans ménagement et le regarda s’avancer timidement vers le coin en question, comme de la chair à canon qui part au combat sans le moindre espoir de rentrer en vie.
Tic, tac, tic, tac… Plus que quelques secondes et Aspen saurait enfin de quel bois était fait ce mystérieux futur oracle.

AVENGEDINCHAINS

J'ai beau avoir des dons de voyances, le Destin se joue bien de moi. Je n'ai pas pu sauver mes parents, je ne peux rien faire quand au catastrophe qui ravagent depuis peu le monde, suis-je seulement utile? Même si aujourd'hui j'ai appris à apprécier mes capacités, une partie de moi complexe toujours quand au fait de ne pas posséder de dons réellement pratique. Tout du moins pour aider dans l'immédiat ceux qui m'entoure. Ce soir, j'ai pris des heures pour terminer plus tôt, je n'avais pas trop la tête à rester au P3. Je rentrais donc de bonne heure. Je faisais un petit détour pour profiter de cette soirée d'été et marcher un peu, espérant me changer les idées. Shane allait peut être m'attendre à la maison? Je mourrais de fin, j'espérais qu'il m'est préparer un petit quelque chose. Ou alors il ne serait pas là, peut être avec une conquête? Entrain de se mettre dans une situation dont il a le secret et dont il se sort avec un joli sourire. Je souriais rien que de penser à ce mec qui avait débarqué dans ma vie depuis peu et qui chamboulait tout. Cela me sortait de mes noires pensées depuis le décès de mes parents.

Je marchais quand tout à coup un flash, une silhouette qui court sur moi, un poignard, du sang... Quelques secondes, le temps de reprendre mes esprits mais trop tard. Juste assez de temps pour anticiper et esquiver le coup que je venais de voir et qui m'était destiné. Je recule et fait face à mon agresseur, pas besoin d'être idiot, il s'agit d'un démon. Alors je lui lance,

-euh t'es au courant que le harcèlement de rue est puni par la loi enfoiré!

Pour seule réponse, il ouvre grand la bouche et me montre ses dents abominables. Je prends une mine de dégoût, rien à voir avec Shane ça c'est sur! Petit soucis, je n'ai que des pouvoirs passifs et je ne suis pas une bête de combat, juste les bases en self-défense. Je me mets en position de défense, étrangement je sens de la peur, de la terreur même chez lui. Mais je n'en suis pas l'objet... Alors je me concentre,

-je ne dois pas décevoir mon maître, je ne dois pas faillir ou la Source me tuera...

Je blêmis en entendant ses pensées. Il est sérieux? C'est la Source qui l'envoie? Non impossible, pourquoi elle se préoccuperait d'un morveux comme moi? Elle a bien assez à faire avec tous les Halliwell je suppose. Mais je dois en savoir plus alors je tends les mains vers lui et récite,

-Dame Nature j'invoque ta bonté,
Protège moi de ce mal et ses attrocités,
Pour que sa bouche soit déliée
prête moi ta force qu'il soit enchaîné!

Heureusement que j'étais le plus doué de ma classe à l'école de magie pour les sortilèges! Un grondement se fit entendre venant du sol. Puis des racines en sortir agrippant le démon qui essayait de se défendre, paniquant et tombant à terre. Il se retrouvait immobiliser. Seul son visage était dégagé, il avait ronger avec ses dents les quelques végétaux qui étaient montés jusque là. Je prenais son poignard et le pointais vers lui,

-Dis moi pourquoi la Source t'as envoyé pour me tuer!

Il gigotait mais ne disait rien. Je lui donnais un coup de pied. Il grognait mais toujours rien. Alors je me concentrait,

-Mon maître va venir me sauver de cet avorton j'en suis sur...

Il ne fallait pas être Einstein pour déduire que son maître nous surveillait alors. Je sentis mon coeur se serrer et prier pour que ça ne soit pas le cas. Si la Source m'avait dans sa ligne de mire, que pourrais-je faire? Fuir à présent ne servirait plus à rien. D'un autre coté, si elle avait vraiment voulu me tuer, elle ne m'aurait pas envoyé ce démon-rat. S'en était presque insultant. Alors je regardais autour de moi, les sens en alerte, et je lançais, presque persuadé que ça serait mes dernières paroles,

-Je sais que vous êtes là! Montrez-vous!

Si ma voix était sûr, mon corps tremblait de tous ses membres...

@Valentin Kennedy & @Aspen Turner

you can stop the future
if you know the right people

La confrontation entre la démon-rat et le sorcier ne se déroula pas comme Aspen l’avait anticipé. Assis derrière le volant de sa voiture, la Source était aux premières loges de l'affrontement, et voir son subalterne échouer aussi rapidement lui arracha un profond soupir. Quand des racines firent soudain craquer le macadam pour venir enserrer le démon, Aspen ferma les yeux d’un air dégouté et se frotta la tempe. On ne pouvait vraiment compter sur personne dans ce monde de merde… Et pour couronner le tout, le sorcier avait apparemment compris toute la mascarade. Il pouvait déjà le sentir, ce gamin allait lui filer la migraine…

Le monarque hésita à démarrer le moteur et à rentrer chez lui, mais il ne pouvait pas laisser le rat entre les mains de Valentin au risque de voir des informations capitales sur son identité secrète être révélées. Pas question pour autant de sortir de la voiture comme n’importe quel mortel. Aspen était La Source, le roi des enfers, et méritait une entrée un peu plus menaçante. Il apparût donc soudainement entre Valentin et le démon dans un grand crépitement enflammé. « Maitre, détachez-moi, je vais le tuer pour vous… » suppliait le rat. Aspen fit quelques pas dans sa direction et lui caressa tendrement la joue, un sourire amusé aux lèvres. « Ta misérable existence est une insulte au monde démoniaque. Mais merci pour ton service, ta famille sera fière de ton sacrifice. » D’un geste brusque de la main, il créa une boule de feu et la précipita contre son cœur. Les flammes étaient tellement puissantes que le démon fut réduit en cendres en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire.

Débarrassé de ce pion encombrant, Aspen se retourna d’un air nonchalant pour faire face au gamin. Il détailla son visage, l’admirant de près pour la première fois. Il avait les traits si délicats… et n’aurait probablement pas tenu 5 minutes sur un champ de bataille, une épée en main. « Voici donc le fameux Valentin Kennedy. Je dois dire, tu étais plus impressionnant en rumeurs qu’en personne. » La voix d’Aspen était mesurée, parfaitement contrôlée. Le monarque faisait de son mieux pour fermer son esprit comme sa mère adoptive le lui avait appris au fil des décennies. Il pointa l’athamé du doigt, l’air amusé. « Pose le couteau, veux-tu ? Tu ne serais pas capable de faire de mal à une mouche, ne prétendons pas le contraire. » La zone était complètement déserte, mais Aspen pouvait entendre des éclats de rire au loin. Sûrement un groupe de fêtards alcoolisés sur le retour. « Ne pense même pas à crier à l’aide. Les inconscients qui viendraient à ton secours seraient morts avant même d’avoir pu te tendre la main. »

Aspen fit quelques pas, commençant doucement à tourner autour de Valentin pour le détailler des pieds à la tête. Il avait tout d’un prédateur encerclant sa victime, mais il n’avait présentement aucune intention de lui faire du mal. Il lui fallait avant tout en apprendre plus sur le sorcier, et évaluer le niveau de la future menace qu’il représenterait, à un moment de sa vie. Son observation terminée, Aspen finit par aller s’asseoir sur le capot d’une voiture proche, l’air complètement détaché. « Toi qui es censé avoir des pouvoirs psychiques impressionnants, faisons le test ensemble. Tu sais qui je suis ? »

AVENGEDINCHAINS

Il est rare dans nos sociétés et notre époque moderne que l'humain se sente redevenir proie. Pourtant en cet instant, c'est précisément comme cela que je me sentais. Une proie, rien de plus qu'un lapin, qu'un gibier, un poisson pris dans des filets et s'en rendant compte bien trop tard. Même si, comme je m'y attendais, dans un crépitement enflammé, un autre démon apparut. Dans un premier temps, il ne se préoccupa absolument pas de moi et, sans grande surprise là encore, tua son faire-Valoir. C'était d'un classique, tout ça pour me montrer à quel point il était un être sans pitié et puissant j'imagine. Mon corps frissonna alors que le démon se retourna alors sur moi, me toisant. Cet air si neutre et nonchalant comme si je n'étais rien, qu'un jouet, un passe-temps. Sa voix me fis presque sursauté tant j'étais à cran. Pourtant elle était calme, posée. En d'autre circonstance, j'aurai presque pu le trouvé charmant et courtois. Le fameux? Les rumeurs? De quoi parlait-il? Je n'avais rien fait me semblait-il qui mérite que mon nom se retrouve sur les lèvres des démons en enfer...

-Les rumeurs ne sont pas toujours vraies...

Tentais-je timidement. Peut être qu'en me rendant in-attractif, il me laisserait tranquille? Se rendant compte qu'il n'a pas à perdre son temps avec moi. Il ne me prend pas au sérieux, ça c'est sur. C'est confirmer lorsqu'il s'amuse de me voir avec l'athamé que machinalement, plutôt que de le baisser, j'empoigne encore plus fort. C'est la seule arme réelle dont je dispose. Comment vais-je me sortir de ce pétrin? Je ne peux pas me téléporter, comme il vient de me le dire, à croire qu'il lit dans mes pensées, je ne peux pas appeler à l'aide... Je suis bloqué avec lui qui s'amuse avec moi comme un chat avec une souris. Il ne cesse de me toiser, de me tourner autour. Mes yeux cherchent une issue sans en trouver de probante. Puis la question. Donc ce sont mes pouvoirs qui l'intéressent? Il a entendu parler de mes capacités psychiques, pourtant je ne suis pas le seul. Il doit y avoir bien plus puissant que moi. Que faire? Je sens bien qu'il érige une barrière psychique pour me compliquer la tâche. Mais ne risque-t-il pas de me tuer si je lui montre que j'ai découvert qui il est? Je soupire, de toute façon, cela peut aussi être ma seule échappatoire...

-Vous dressez une barrière mentale, je le sens bien. Sauf que j'ai fais le tour alors que vous étiez aux prises avec votre... Sous-fifre? Vous êtes...

J'avais l'impression d'être à la fin d'in épisode, quand on va apprendre l'identité réelle d'un mystérieux personnage. Que j'ai une caméra en contre-champs qui fait le zoom sur moi, puis sur lui, puis sur moi, avec une musique de fond à suspens. Puis un zoom sur mes lèvres et moi qui lance alors d'une voix calme,

-La Source.

Le mot résonne. J'ai l'impression d'avoir lancé une bombe sans en avoir calculer les retombées. Il est presque certain que je vais me prendre les retours dans la figure. Où alors j'ai une chance pas croyable et quand tout ça sera terminée, j'irai gratter un ticket de loto...

@Valentin Kennedy & @Aspen Turner

you can stop the future
if you know the right people

Valentin le regardait avec de grands yeux ronds, et Aspen peinait à retenir un soupir. On aurait pu penser qu’un démon (ou demi-démon, en l’occurrence) ne pouvait que se réjouir de tourmenter un jeune sorcier de la sorte. Mais pas Aspen. Il était le roi des enfers, pour l’amour-de-Satan. Il avait mieux à faire que ça, et toute cette embuscade s’était révélée être une déception monumentale. Perdant patience en voyant les jointures de Valentin se serrer autour du poignard cérémoniel, il finit par lancer : « Je t’ai dit de lâcher ça. » D’un geste sec du poignet, il fit naitre de grandes flammes le long de la lame courbée. La chaleur était telle que le métal de la poignée en devint vite brûlant, forçant le sorcier à lâcher le couteau sous peine de souffrir de brûlures au deuxième degré. « Je déteste devoir me répéter » asséna-t-il en levant les yeux au ciel. Si Valentin ne comprenait pas rapidement qu’il était le genre d’hommes à se faire obéir, il risquait de ne pas faire long feu.

Mais le sorcier finit par réussir à le surprendre, piquant son intérêt à vif. Ainsi donc, le gamin avait été capable de détecter qu’il était la Source du mal, l’actuel monarque régnant sur le bas-monde. Les lèvres d’Aspen se fendirent d’un sourire approbateur, presque impressionné. Parvenir à percer ses barrières mentales n’était pas le genre de prouesses accessibles au premier sorcier venu. Ce genre de capacités subtiles lui confirmait que la personne qu’il avait face à lui n’avait probablement rien d’ordinaire.

Toujours assis nonchalamment contre le capot, il se fendit d’un commentaire amusé. « Tu n’es peut-être pas si inutile que ça, finalement. Je t’ai peut-être jugé trop rapidement. » Mais la valeur intrinsèque du futur oracle restait encore à prouver, et il devait conduire plus d’expériences pour s’en assurer. « Enfin, c’était une question facile. Voyons si tu parviens toujours à faire tes petits tours de passe-passe quand la pression augmente… »

Nouveau geste sec du poignet, doigts recroquevillés contre sa paume de mains. Les flammes obéirent à leur maitre, et en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire, un cercle enflammé parfait s’était dessiné autour de Valentin. Il jeta un œil distrait à sa montre pour trouver la trotteuse des secondes. « Tu as environ deux minutes avant que les flammes ne viennent lécher ta peau. » Il fit un grand mouvement de la main, encourageant son brasier circulaire à se rapprocher très lentement de sa proie. Même si Aspen n’avait pas réellement l’intention de le blesser avant d’avoir été au fond des choses quant à l’étendue actuelle de ses pouvoirs, il espérait que la manœuvre serait suffisante pour remplir tous ses membres d’adrénaline et perturber ses facultés de concentration. Et, enfin, il lui posa la question à laquelle seule une infime poignée d’individus sur Terre avait la réponse : « Quel est mon nom de famille caché ? » Parviendrait-il à percer en si peu de temps le secret que même les membres de sa famille ignoraient ?

AVENGEDINCHAINS

Bon, si je voulais vivre, il allait falloir que je coopère. Cela devint une évidence quand il enflamma le poignard que je n'avais pas lâché à sa première demande. Bon pas vraiment le genre de type qui aime être contrarié et qui gère assez mal le fait qu'on lui tienne tête. Oui les télépathes on parfois tendance a avoir des idées de pseudo-psychologues. Même si dans les faits je n'en menais pas large. Lâchant donc larme au sol avant qu'elle n'est le temps de me calciner la main. Qu'est ce que je pouvais bien faire face au démon de tous les démons? Pas spécialement envie de finir cuit à la broche. Mais le sourire qui se dessina sur ses lèvres lorsque je lui dis qui il était me fit peut être d'autant plus peur que son énervement. Il n'en avait de toute évidence pas terminé avec moi. Même si j'ignorais toujours d'où venaient ces rumeurs qui visiblement l'avait poussé à venir en personne. Le monarque infernal ne devait pas être du genre à venir s'embêter pour n'importe quel sorcier...

J'avais vu juste, il voulait continué de tester mes capacités. Alors que pour ma part, je n'avais envie que d'une seule chose présentement, m'enfuir très très loin d'ici. Impossible cependant de lui échapper. D'autant plus lorsqu'il fit apparaître un cercle de flammes. Puis la question qui suivait, deviner sa véritable identité? Parce qu'il a une autre identité plus secrète que la Source? C'est quoi ce bordel? Mais il faut que je trouve et vite parce que d'un geste de ses mains, voilà les flammes qui se rapprochent de moi. Mon coeur s'emballe. Impossible de me concentrer tant la panique s'emparait de moi. Je n'avais aucune échappatoire et tenter une formule et il me calcinerait avant que je n'ai le temps de terminer l'incantation. Je respirais pour tenter de me concentrer et de capter quelque chose. Rien. Je fermais les yeux pour contenir ma peur, mais sentais sur ma peau la chaleur grandir... Bon, il n'y avait plus qu'un dernier moyen. Je pris une profonde inspiration et je m'approchais, la main droite en avant du cercle de feu, plongeant quelques secondes ma main dans les flammes.

La chaleur fut tel quelle m'arracha un hurlement de douleur, retirant ma main du brasier aussi vite que je l'y avait plongé. Je la tenais fermement, me mordant les lèvres presque au sang. Mais j'avais vu juste. Je ne suis pas que télépathe, je suis également empathe et voyant et les pouvoirs sont liés à leur créateur. Aussi les flammes étant le pouvoir de la Source, elles avaient servit de catalyseur pour que mon pouvoir puisse capter les informations de celui dont elles provenaient. Je respirais un bon coup, plongeant mon regard dans le sien. La douleur me mordait la chaire de ma main. Et desserrant ma mâchoire je lui lançais alors que tout se précisait dans mon esprit,

-Aspen Turner...

Et là mes yeux s'écarquillèrent, je n'y croyais pas... Mes les visions du passé qui envahirent mon esprit étaient alors formelles...

-Aspen Turner... Halliwell

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